Lucifer le Silencieux

Nom : Rabe ( Ra-bé )

Prénom : Lucifer

Surnom : Silence


Âge : 21 ans

Date de Naissance : Dies Dominicus XIII Decem


Métier : Aucun

Race : Zur

Lieux de résidence : Temple de Zur en ruine




Descriptif physique : Lucifer possède de longs cheveux d’un noir ébène. Sont regard est d’un blanc comme la neige qu’il la vue venir au monde et aussi froid que l’hiver de sa naissance. Il n’est pas très grand, seulement un 5 pied et 7 pouces et demi. Mais il possède une musculation de jeune homme bien en forme. Il est vêtu de vêtement simple, tel qu’une tunique légère de couleur ‘’crimson’’ ou dans de couleur sombre, noir / bleu. Une croix à l’envers orne sont vêtement du haut sur son cœur et c’est aussi un tatou sur sa paupière gauche. Sur ces énormes ailes noires, sont ornés quelques plumes blanches ainsi que son fourreau.

Caractère : Lucifer est un personnage dangereux, sont comportement peut refléter le miroir de sa personnalité. Il peut vous faire un sourire, tendre et presque chaleureux, mais celui-ci peut aussi être un avertissement de l’approche de la folie dans son subconscient. Je ne dirais pas qu’il est fou, mais sont état d’âme est plutôt bouleversé. Un homme macabre, silencieux et légèrement psychopathe.

FACULTATIF


Particularité : Il possède deux armes sur sa personne. Une lame nommée Rel’Rhak qui possède une lame blanche comme la neige, elle possède des pierres opales, et une seconde nommée Volker dont la lame est d’une couleur noir comme les puits infernales, contient des pierres rouges. Les deux lames sont de couleur opposée, mais cela n’est que coïncidence. Même les deux armes ne sont pas identiques. Il ne ce sépare jamais de ces deux épées.
Il possède aussi un don qui lui fut donné au prix de son âme, celui de contrôler les flammes.


OBLIGATOIRE


Histoire : C’était la plus jolie chose que j’ai pu voir dans ma vie. Avec un air d’extase, je montai ma main vers mon visage et lui fit faire un tour complet pour pouvoir l’apercevoir entièrement. Comme chaque fois, je vivais le même sentiment de puissance. Puis, je baissai mon regard sur ma main droite, où celle-ci tenait une poignée de plume d’un blanc parfait. Un sourire monta jusqu’à mes oreilles, et puis je lichai doucement ma main poisseuse de sang. Un frisson me parcourra l’échine. Je repoussai mes cheveux noirs de devant mon visage et essuya ma bouche du revers de ma main. Je rangeai les plumes dans ma besace et ramassa mon coutelas pour le remettre dans son fourreau. Je dirigeai mon regard blanc vers le corps froid qui s’étalait sur le sol de roc gris. Un nouvel ange avait perdu ces ailes cette nuit. Mais celui-ci avait été un peu plus coriace, il s’était défendu en bon guerrier. Mais les êtres de lumière était des endoctrinés du terme que l’on osait nommer ‘’bonté et loyauté’’. Au moment où il s’y était attendu le moins, j’avais fauché sa vie aussi vite qu’un éclat d’éclaire dans le ciel. Il me croyait faible, mais c’était lui maintenant qui n’était plus en état de ce battre. Normalement j’arrivais à faire sa proprement, sans trop tacher la place, mais celui-ci ce trouvait dans une cathédrale, et les poutres étaient en pièces, l’hôtel et les bancs était éclaboussé de sang. Mes vêtements noir était d’une teinte ‘’crimson’’ puisqu’immaculé du liquide de vie du jeune ange j’étais souillé. Je me remis debout et traversa la demeure de Dieu et sorti. L’éclat de la lune refléta une teinte bleue nuit dans mes cheveux d’ébène ainsi que le vent ce fondait au travers. J’adorais cette atmosphère paisible et lugubre à la fois. Un sentiment de romantisme m’envahit. L’obscurité de la nuit ne faisait qu’un avec la terre sous nos pieds, et le regard de la lune sur eux était telle une mère qui veillait sur ces deux enfants. Les quelques arbres qui était parsemé autour de la cathédrale sombrait dans une teinte rousse, bientôt l’automne s’installerais et ferais l’amour à la tour jusqu’à la rendre d’une couleur rouge-orange, à bout de souffle. Et ensuite elle mourra de fatigue et deviendra froide, l’hiver serait ici. Je marchai doucement sur le sentier de terre qui menait vers la ville, mais avant je me retournai vers l’église. Affichant un nouveau sourire, j’avais bien travaillé ce soir, mais ce n’était pas de cette façon qu’on pouvait terminer une fête aussi joyeuse que ça! Je décidai donc de vous palabrer un peu sur mon passé…

Comme n’importe qui dans ce monde, mon existence commença lors de l’union de deux êtres. Ces deux êtres étaient une Aenienne et un Zurien. Le seul problème, c’est que sa naissance n’était pas volontaire. Alors lorsque je fus en âge d’encaisser les coups mon père en profita. Son tempérament colérique le rendait dangereux et c’était moi qui recevais les coups puisque j’étais l’ingrat. Ma mère? Elle était trop occupée pour s’intéresser à moi. Elle s’occupait du bon marché de la richesse familiale. Je développais alors un sentiment de racisme envers tous les peuples.

Lors d’une nuit noire comme le goudron, je pris la poudre d’escampette. Le glas de la vengeance avait résonné en mon âme noirci. Ce fut après quelques heures de recherche que je trouvai une prêtresse. L’heure était tardive et elle ce demandait ce que je pouvais bien faire à cette heure-ci à sa porte à mon âge. Je lui expliquai l’enfer que je vivais, que mon Aenienne de mère était une salope et pouvais ce rosir dans les flammes de la damnation. Je lui palabrai à propos de mon père Zurien qui me frappait et trouvais toujours une nouvelle façon de me faire souffrir ou m’humilier. Je lui partageai le fait que mon unique professeur personnel Gaaien restait de marbre devant mon existence. Après cette épopée sombre, elle me sourie tel un ange. Elle m’expliqua que j’étais encore jeune et que j’aurais bientôt fait de maîtriser le cadeau qu’elle allait m’offrir en échange de mon salut éternel. Elle me demandait d’utiliser son don pour me débarrasser des autres peuples. J’acceptai d’un hochement de tête et celle-ci m’offrit le don de contrôler les flammes vengeresses et purifiantes de ce monde. D’un doux baiser sur le front, elle me renvoya à la maison avec l’incendie ardent qui me consumait.

De retour à la demeure de mes parents, j’entrai silencieusement comme une ombre furtive et me dirigea vers la salle de réception. Elle était grande et possédait de multiples chandeliers. D’une pensée je fis illuminer la pièce par les chandelles, puis les petites flammes qu’elles étaient devinrent de plus en plus grandes et avide de consumer l’endroit. Je levai une main vers l’escalier qui montait à la chambre de mes parents, qui devaient s’en doute être à l’œuvre de consumer l’acte à cette heure tardive. Les chandelles avaient déjà commencé à ce nourrir du plafond et commençait à s’étendre sur les murs. C’est ainsi que je me débarrassai de mes parents. Avant de les abandonner dans la demeure prise dans les griffes de mes flammes vengeresses, je ramassai Volker, la superbe arme de mon père.

À partir de ce moment, ma vie ce résumait à une soif vengeresse de racisme envers les différents peuples qui existaient. J’avais besoin de me nourrir de cette répression pour vivre et j’avais juré corps et âme à purifier ce monde. Je ne pourrais oublier le visage de cette prêtresse qui m’avait fait don du plus beau cadeau au monde, qui dépassait largement la vie, celui de pouvoir me venger de ces êtres ignobles, qu’était comme qui dirait, mes parents.


FACULTATIF

Bref Descriptif Des Parents : John Rabe, Zurien,
Décéder à l’âge de 37 ans, cause d’incendie ménagé. Il était un riche patron d’une compagnie électronique dans Zur. Son enfance à été gâté et pourris pas la richesse de son propre père. Avec un comportement aussi explosif, la compétition ne faisait pas rage longtemps. Et ce comportement amena aussi son fils à devenir un raciste incontrôlable.

Delta Elmers, Aenienne,

Décéder à l’âge de 29 ans, cause d’incendie ménagé. Une bonne partie de sa vie fut dans la prostitution, cette garce n’avait pas d’autre moyen de s’en sortir. Jusqu’au jour où John la rencontra et en tomba amoureux. Celle-ci était trop préoccupée par l’argent de Mr. Rabe pour s’en faire à son comportement. Elle restait souvent inexpressive sauf lorsqu’il s’agissait de manipuler son mari.




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